Les spiripontains sont condamnés à la double peine :
- Régler les impôts
- Supporter l’équipe qui a ruiné la ville
Nous ne commenterons pas cette décision de justice sachant que comme nous l’avions annoncé dès le départ, les « dés étaient pipés »
L’objectif préfectoral étant de faire cesser le désordre et de faire rentrer l’impôt.
Ne se faisant aucune illusion sur d’éventuels recours, les communistes ne se résignent pas à une telle situation ; d’autant que l’avenir s’annonce sombre pour les collectivités au travers d'une loi mise en chantier par la droite. ( réforme des collectivités territoriales )
Cette loi aura pour effet d’aggraver les difficultés financières des communes et des départements : voire les supprimer !
Ce qui va se traduire pour notre ville par moins de moyens dans tous les domaines qu'ils soient social, associatif, humain, mais aussi sur les investissements.
Le parti communiste mène bataille depuis des mois contre cette orientation « Sarkozyste » du détricotage de ce qui fait notre pays
Plus localement le PCF avec ses alliés et la population continueront à s’opposer à l’appauvrissement et à la ruine de leur ville.
Nous continuerons à porter la parole des plus démunis au conseil municipal
Nous continuerons à rencontrer et échanger avec la population dans les quartiers, qui est la plus à même d'exprimer ses besoins et établir ses priorités,
Nous continuerons d'être à l’écoute de notre population, à porter l’exigence de celle-ci pour une véritable politique de l’emploi.
Une mise en route sans délai de la ligne voyageurs SNCF avec une gare à Pont
La baisse significative des impôts locaux, avec une renégociation de la dette auprès des banques et des pouvoirs publics, complices
L’étude et la remunicipalisation de l’eau
Une transparence effective auprès de notre population des affaires communales.
Voilà ce à quoi les communistes s’engagent après ce mauvais coup porté à notre population
« La seule bataille que l'on est sûr de perdre est celle que l'on ne mène pas »
Nous continuerons patiemment mais fermement à faire entendre au conseil communal la voix de ceux qui sont considérés comme « la France d’en bas » par une droite qui a encore une fois « Sauvé le soldat B et ses nuls »