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Mieux que de longs discours, une petite vidéo à faire circuler sans modération pour combattre la pensée unique.
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Le dernier épisode de la série "en 2012 on vous fait un dessin" imagine la fin du Sarkozysme et la VIe République, à voir et à faire tourner à ses amis. Un résumé des années "Sarkozy" et les perspectives pour un monde plus juste et plus démocratique.
Pour la réussite de ce meeting des militants sont mobilisés sur tout le territoire de la section Gard Rhodanien.
Des covoiturages s'organisent, mercredi on va prendre notre Bastille bagnolaise: La Pyramide du centre socio-culturel.
Mélenchon a 15% et plus dans les sondages c'est bon pour toute la gauche, c'est bon pour virer Sarkozy! C'est bon pour le SMIC à 1700€!
Le vote pour les candidats Front de Gauche à la présidentielle comme aux législatives, c'est le vote utile et efficace pour faire gagner la gauche, écarter définitivement les idées puantes et racistes du FN.
Et si on avait un deuxième tour Hollande/Mélenchon? Car si Mélenchon progresse de manière importante, Hollande depuis 3 mois reste autour de 27% ce qui montre bien que les nouveaux électeurs du Front de gauche viennent des abstentionnistes, voire du FN qui continue à baisser ..... pour passer sous son score de 2007 ( 10,44%)?
Ci dessous sur la voie rapide des Angles à Avignon dès 7h du matin
Ou ici dessous à l'entrée de Remoulins
Ils n’en attendaient que 7.000 au maximum. Mais les membres de l’équipe de campagne de Jean-Luc Mélenchon ont dû pousser les stands militants pour accueillir plus de 10.000 personnes, réparties dans deux salles de Villeurbanne . Dans le public, des militants et des sympathisants venus de Lyon, de Grenoble, du sud de la France en car, des travailleurs en lutte, les Péchiney, les Lejaby, les Arkema, qu’avait visité l’ancien membre du PS dans l’après-midi.
Tous venus voir le candidat du Front de gauche. Comme d’habitude, lui s’en défend. «Nous ne sommes pas rassemblés sur le nom d’une personne mais pour une cause. Nous ne crions pas des noms propres dans nos meetings mais des idées politiques», lance Mélenchon, avant de brandir le dernier rapport du CSA. «Depuis le mois de janvier, 70% du temps d’antenne a été accaparé par le PS et le l’UMP. Ne comptez que sur vous-mêmes. Et écoutez-moi, je vous transmets des arguments qui vous serviront. Le premier média du peuple, c’est le peuple lui-même», explique le candidat du Front de gauche, qui espère créer une dynamique par la base, assurer la «conjonction entre les luttes syndicales et politiques». Et ses meetings font le plein. Au mois de janvier, il a réuni 4.500 personnes à Besançon («Personne n’avait rempli le Palais des sports de cette ville, même le Vieux», glisse Mélenchon en faisant référence à Mitterrand). Mercredi soir, il fera encore un meeting à Montpellier. Jeudi, un autre au Blanc-Mesnil.
Mais mardi soir, à Villeurbanne, entre deux bonnes blagues sur le PS («J’ai demandé au traducteur en langue des signes ce que voulait dire le signe de ralliement pour Hollande, il m’a dit: “radio du thorax”… Faisons-là, la radio, car dans le thorax, le cœur est à gauche»), Mélenchon est venu parler précarité. «Entre le faible et le fort, c’est la loi qui protège et la liberté qui opprime», déclare le candidat, qui s’engage à titulariser les 850.000 travailleurs précaires de la fonction publique et à appliquer le décret de réquisition des logements vides. «La peur du lendemain s’est abattu sur notre pauvre pays. Et la peur du lendemain, c’est ça la précarité. Alors que la lutte contre la précarité a toujours été le but de l’humanité.»
En fil rouge de son discours, Mélenchon tape sur Marine Le Pen, l’un des combats de sa campagne. «80% des précaires sont des jeunes et des femmes. Le but de la plupart des femmes, c’est d’être maîtresses de leur destin alors que Marine Le Pen ne leur souhaite comme destin que d’engendrer», s’emporte le représentant du Front de gauche, qui met en garde l’électorat des salariés. «Pendant les manifestations des retraites, vous avec vos drapeaux de syndicalistes, elle vous avait traités d’émeutiers. Dites-le à vos camarades.» Plus tôt dans la journée, le quotidien Le Monde avait titré en une «Le Pen/Mélenchon, la guerre des populismes». «C’est bien des titres comme ça. C’est tellement insultant. Ça radicalise les consciences, comme en 2005», avait confié plus tôt dans la journée Mélenchon. 2005, l’année du non au référendum européen que personne n’attendait.
« Nous ne voulons pas laisser reculer le présent dans le passé. » Ce cri de Baudelaire revient en mémoire, à entendre les vaticinations de la droite. Il aura suffi d’un léger infléchissement à gauche du discours de François Hollande pour réveiller la peur du rouge chez les bêtes à corne. Voilà Valérie Pécresse qui prophétise un « modèle social en péril » et voit des Français « menacés ». Laurent Wauquiez dénonce un programme qui « tourne le dos aux classes moyennes ». Nicolas Sarkozy en rajoute avec cette impudence qui est une marque de fabrique en se posant comme le champion de « l’indépendance de la justice et des magistrats ». Comme si sur ces trois sujets comme sur tant d’autres, ce n’était pas la droite qui avait saccagé les acquis sociaux, dévasté beaucoup de ce qui fait un certain art de vivre ensemble, à la française. Comme si l’Élysée ne traînait pas un interminable alignement de casseroles sonnantes et tressautantes sur les retraites, la nomination d’amis peu regardants à des postes clés de la justice et de la police, 1 million de chômeurs supplémentaires en moins de cinq ans, les salaires en berne, les libertés syndicales écornées… Ce discours à front renversé vise à troubler les repères comme les fumigènes masquent les tourelles des chars qui font retraite. Le Château semble contraint à faire feu de tout bois et, bien avant l’empoignade finale, de faire donner la réserve. Ainsi voit-on, après François Fillon, Alain Juppé lancé dans la mêlée pour prendre les coups à la place du futur candidat. On ressort même des purgatoires élyséens des moralistes raffinés de la politique comme Éric Woerth ou Patrick Balkany.
À coup sûr, les 60 propositions qu’a défendues François Hollande sur le plateau de France 2 ne méritent pas ces excès d’indignité et aucune ne devrait semer tant d’effroi dans les rangs de l’UMP. Il n’est pas prévu de rétablir la retraite à 60 ans, d’augmenter le nombre des fonctionnaires, de passer le Smic à 1 700 euros, ni même de tordre le bras aux marchés financiers… Des variations saisonnières ont même orienté le programme socialiste à la baisse, au point que Le Monde (qui s’en félicite) indique qu’il s’agit « d’un projet présidentiel à la tonalité churchillienne » qui « porte la marque du réalisme et de la rigueur ». Mais il suffit de vouloir augmenter de 25 % l’allocation de rentrée scolaire ou d’imposer un peu plus lourdement les très très hauts revenus pour que les beaux quartiers se claquemurent ou rêvent d’exil. À gauche, ce programme ne suscitera pas d’enthousiasme démesuré. Il est plombé par une philosophie que Michel Sapin, l’un de ses auteurs, résume ainsi : « Le tout, tout de suite, est d’un autre temps. » Pourtant, la campagne du candidat socialiste a évolué ces dernières semaines. Il n’a pas officiellement tourné la page des œillades destinées à François Bayrou, mais c’est à la gauche qu’il s’est adressé au meeting du Bourget. Il n’a pas abjuré les dogmes de l’austérité pour « payer la dette », mais il a tenu compte de certaines urgences sociales (comme le logement) et a assuré qu’il obtiendrait une directive européenne sur « la protection des services publics ».
Comment ne pas constater que la courbe de ses évolutions est parallèle aux intentions de vote en faveur du Front de gauche ? Alors que l’adhésion à Sarkozy baisse et que Hollande est au plus haut, la candidature de Jean-Luc Mélenchon n’a pas de raison d’être affectée par le funeste réflexe du vote utile. Elle devient le moteur de la gauche. C’est bien ainsi que le PCF entend œuvrer, contribuer à l’ancrage populaire et citoyen de cette campagne n
Une quarantaine de personnes a participé à cette première assemblée citoyenne du canton de Villeneuve avec la participation de Jean Delpuech, (pôle économie du PCF) et Charles Menard candidat du Front de Gauche à l'élection législative de juin 2012.
Après la projection d'un petit documentaire sur la manière dont les banques et les financiers tentent de modeler la société pour le seul intérêt des gros actionnaires, le débat s'est rapidement engagé.
Prendre le pouvoir sur les banques et rendre au "politique" la primauté sur ce que certains voudraient faire apparaître comme une évidence technique sur laquelle nul ne pourrait intervenir a été au coeur de ces échanges.
Un pôle financier public qui prête sans intérêt aux collectivités locales principal investisseur dans l'aménagement du territoire, aux PMI/PME pour développer un secteur industriel créateur d'emplois, une répartition des richesses produites pour l'intérêt des besoins collectifs en opposition à la seule satisfaction des appétits spéculatifs, les enjeux démocratiques, la planification écologique .... autant de thèmes du programme "l'Humain d'abord" du Front de Gauche qui ont été débattus.
Une assistance attentive et motivée pour devenir des radios "Front de Gauche", seul moyen de lutter co ntre le rouleau compresseur médiatique qui ignore ces propositions - ou les caricature - à grand coup d'experts "vedettes" des médias et inféodés à l'idéologie dominante!
A ce propos, le film "les nouveaux chiens de garde" qui passe actuellement à Utopia Avignon, donne un éclairage, si besoin était, de la manipulation des consciences qui depuis des années formate les esprits.
En fin de soirée, un "pot" de l'amitié a permis de poursuivre la rencontre.
3 nouvelles personnes se sont inscrites au car pour aller le 8 février au meeting de JL Mélenchon à Montpellier, portant à 156, le nombre de Gard Rhodaniens qui participeront à ce qui d'ores et déjà s'annonce comme un succès puisque 11 cars sont du seul département du Gard. N'en doutons pas, Montpellier sera un nouveau grand rassemblement tel celui de Nantes et ces 6000 participants! (ignorés par les grands médias TV une nouvelle fois pris en flagrant délit de refus de pluralisme!)