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9 juin 2013 7 09 /06 /juin /2013 19:22

Plusieurs centaines de personnes ont participé dimanche à Paris à une «marche des femmes contre l’austérité», organisée à l’appel de militantes politiques, syndicales, associatives et féministes.

Les participants, hommes et femmes réunis, se sont rassemblés en début d’après-midi devant la Comédie-Française avant de se diriger vers la place de la République, derrière une large banderole mauve où était inscrit «Marche des femmes contre l’austérité, pour imposer une autre politique».

«Hollande, Ayrault, assez d’austérité, assez de précarité. Nous refusons de trinquer, nous refusons de payer», scandaient les manifestants, agitant des drapeaux notamment du PCF, du Parti de Gauche et du Nouveau Parti anticapitaliste (NPA). «L’austérité pénalise surtout les femmes», pouvait-on lire sur une pancarte.

Plusieurs personnalités du Front de Gauche, à l’origine de l’initiative avant qu’elle ne s’élargisse aux mondes syndical, associatif et féministe, étaient présentes: Jean-Luc Mélenchon, Clémentine Autain, Marie-George Buffet.

«Les femmes sont les premières victimes de l’austérité. Elles subissent de plein fouet le temps partiel contraint, une retraitée sur trois vit sous le seuil de pauvreté», a déclaré la sénatrice PCF du Val-de-Marne et animatrice du Front de Gauche, Laurence Cohen. «Nous voulons montrer qu’on est en colère et qu’on prône une autre politique», a-t-elle ajouté.

«Ce n’est pas une question de sexe, la lutte contre l’austérité est une question globale même si les femmes sont les plus touchées», a déclaré à l’AFP Christian Rodriguez, un militant du Front de Gauche Latinos.

Plusieurs organisatrices ont pris la parole pour dénoncer les «bas salaires», le «démantèlement des services publics» ou encore l’accord national interprofessionnel, «un permis accordé au patronat de licencier sans entrave», affirmant qu'«encore une fois, ce sont les femmes qui en subiront le plus les conséquences».

«Sur les retraites, la contre-réforme qui s’annonce, les premières qui vont la payer ce sont les femmes, qui ont déjà des retraites au rabais», a dénoncé Clémentine Autain. «Nous devons être, nous féministes, au coeur du combat contre la rigueur et l’austérité, parce que c’est le seul moyen conséquent de faire avancer, dans la réalité, le droit des femmes», a-t-elle ajouté.

D’autres marches ou rassemblements étaient organisés depuis samedi dans plusieurs villes de France (Saint-Etienne, Tarbes, Marseille, Villeneuve-sur-Lot). Une pétition sur le site du collectif organisateur affichait dimanche plus de 1.480 signatures.

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21 mars 2013 4 21 /03 /mars /2013 00:14

 


 

 

Jen Luc Mélenchon était l'invité de l'émission animée par Caroline Roux. Interview sur l'actualité (Mort de Chavez, la dette, le chômage, les actions du gouvernement etc...,
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3 février 2013 7 03 /02 /février /2013 15:45

 

 

 

 

 

(Christian Picquet est

Conseiller régional Midi Pyrénées

Porte-parole de la Gauche unitaire (G.U.) (issue d'une scission du NPA),

La G.U. est l'une des composantes du Front de Gauche.

 

 

 

 

Pourquoi un texte sur la stratégie politique aujourd’hui ? 

Christian Picquet. Il nous fallait trouver un nouvel élan. De la création du Front de gauche jusqu’aux élections présidentielle et législative de 2012, nous avons travaillé sur une orientation permettant de mener ces campagnes électorales. Aujourd’hui nous sommes dans une situation nouvelle. La gauche a gagné les élections, nous avons puissamment contribué à cette victoire, et le Front de gauche s’est élargi, passant de trois (PCF, Parti de gauche et Gauche unitaire) à neuf organisations. Pour être utiles à la gauche et au peuple, pour proposer, face à un gouvernement dont la politique va à l’encontre de ce pour quoi les Français ont voté, une perspective alternative pour toute la gauche… il nous fallait ce texte stratégique.

S’agit-il de dépasser la simple dynamique électorale? 

Christian Picquet. Le Front de gauche, depuis le début, n’est pas une stricte construction électorale. « Unis dans les luttes, unis dans les élections » était un de nos premiers thèmes en 2008. Notre ambition vise à proposer une politique de transformation de la société. En 2013, année sans élections, nous voulons agi comme une force politique et contribué à mettre la société française en mouvement grâce à nos propositions.

Quels sont les thèmes qui ont fait débat entre vous?

Christian Picquet. Par exemple, de savoir comment, après une échéance électorale majeure où le Front de gauche est devenu une référence dans la vie politique tout en décidant de ne pas être dans la majorité présidentielle, construire une démarche alternative à vocation majoritaire au sein de la gauche. Sans nous enfermer dans une posture de témoignage aux marges de la gauche, mais en faisant bouger le curseur à l’intérieur de celle-ci. Par exemple, la préparation des échéances politiques et sociales à venir, et notamment les élections municipales et européennes de 2014. Enfin, de savoir comment traduire l’élargissement du Front de gauche pour qu’il ne soit pas seulement un cartel d’organisations mais associe toutes celles et ceux qui veulent travailler à changer l’axe de la gauche.

Les propositions répondent-elles, pour vous, à cette ambition?

Christian Picquet. Le Front de gauche n’est pas un parti unifié. C’est un rassemblement pluraliste. Les organisations conservent leur souveraineté, mais tout le monde voit bien qu’il y aujourd’hui des milliers d’hommes et de femmes qui veulent travailler à sa construction sans nécessairement adhérer à l’une ou l’autre des formations. Les mesures vont renforcer le caractère pluraliste, le fonctionnement collégial et la participation de haut en bas des citoyens.


 Entretien réalisé dans l'Humanité par Max Staat le 29 janvier 2013

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3 février 2013 7 03 /02 /février /2013 07:36

Les différentes forces du mouvement ont rendu public hier un nouveau texte d’orientation qui définit son ambition des prochains mois et trace de premières perspectives pour 2014. (1)

«Face à la crise, une course de vitesse est engagée entre deux types de réponses possibles: l’une démocratique et solidaire et l’autre autoritaire et porteuse de profondes régressions sociales. (…) Nous avons donc un rôle historique: rassembler pour construire une alternative de gauche rompant avec les logiques libérales et sociales-libérales.» Telle est l’ambition affichée par le Front de gauche dans le texte d’orientation que sa coordination a adopté la semaine dernière et qui a fait l’objet d’un «accord unanime» des membres de son conseil national, vendredi, aux côtés d’un second volet sur le développement du mouvement (voir ci-dessous). Après le texte stratégique d’avril 2011, cette nouvelle mouture rendue publique hier, a vocation à «apporter des éléments de réponse» pour aborder «une nouvelle étape» du mouvement. Tirant les enseignements de la dernière période, de «la campagne inédite qui a rendu possible la défaite de Sarkozy» à la «politique sociale-libérale assumée» du gouvernement, le Front de gauche fixe son cap. «Nous n’attendrons pas 2017», affirme-t-il, se voulant capable de «faire la démonstration qu’une politique alternative à l’austérité est possible à gauche et qu’elle peut être majoritaire», dans l’esprit de sa campagne lancée à Metz la semaine dernière.

Considérant, comme déjà à de multiples reprises, que «la politique du gouvernement Ayrault conduit à l’échec» et refusant de se résigner «à ce que la droite extrémisée, voire l’extrême droite, représentent à terme l’alternative», le Front de gauche «entend, dans les mobilisations et les élections à venir, œuvrer à des solutions de gauche immédiates face à la crise, et à la construction d’une politique et d’une majorité alternatives». Ambitionnant de devenir «un front du peuple», il compte ainsi s’adresser «à toutes celles et ceux qui, à gauche, quelles que soient leur préférence et leur appartenance politique, veulent agir et ne se retrouvent pas dans les choix d’austérité» au travers de différents «rendez-vous» qui jalonneront son activité des prochains mois (voir encadré).

Quant aux échéances électorales de 2014, elles «feront l’objet d’un débat spécifique». Cependant, le texte affirme l’objectif d’être «à l’offensive» aux municipales, d’y faire échec à la droite et à l’extrême droite tout en en faisant «des points d’appui pour refuser la logique d’austérité». Une première réunion devrait avoir lieu au printemps sur le contenu programmatique de cette campagne, tandis que la discussion sur «les formes concrètes des rassemblements» devrait «s’engager sans tarder». L’élection européenne y est également considérée comme un rendez-vous essentiel, pour lequel l’objectif est de «bousculer le rapport de forces à gauche en notre faveur».

Tenir le front coûte que coûte  «Unis dans les luttes»... le Front de gauche programme déjà les futures campagnes à mener dans les mois qui viennent: droit de vote des étrangers, régularisation des travailleurs sans papiers, actions dans le cadre de la campagne d’«alternative à l’austérité» (meetings, réunions publiques, marches départementales…). Un front uni qui se déclinera au Parlement: le projet de loi découlant de l’accord sur l’emploi y arrivant en mars, il faudra «interpeller les parlementaires, notamment PS et EELV», majoritaires à l’Assemblée.

 

Paru dans l'Humanité par Julia Hamlaoui le 29 janvier 2013

 

(1) Texte intégral à visionner, à télécharger et faire circuler : Le développement du Front de Gauche -


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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 15:30

Le Front de gauche a précisé lundi ses formes d’organisation du local au national, dans un document portant sur son fonctionnement, en vue des échéances électorales de 2014. 

Des cadres» et des «instances» pour se «coordonner», «prendre des décisions» et les «mettre en application». Les composantes du Front de gauche proposent de se doter de « formes d’organisation pérennes à la fois ouvertes, souples », complétant les structures permanentes déjà créées « pour permettre davantage d’implication citoyenne ».

Hier, simultanément au texte sur la stratégie du Front de gauche, un second document a été rendu public sur son « fonctionnement » et son « développement ». Car « si le Front de Gauche n’est pas un parti, ce n’est plus seulement une alliance électorale, il s’agit donc d’un mouvement, d’une force politique qui se veut l’outil d’une dynamique populaire », explique le texte. Tout en se proposant de « poursuivre » les « trois exigences » qui ont jusque-là présidé au « développement du Front de gauche » (une « orientation stratégique (…) décidée et acceptée par toutes les composantes », des méthodes « souples et non contraignantes » et la prise d’« initiatives communes »), le document passe en revue les différents outils organisationnels du rassemblement, en proposant de les faire évoluer.

Tout développer

Ainsi des assemblées citoyennes, « essentielles » au « développement et (à) l’élargissement du Front de gauche » et qui sont « à la fois des lieux de discussion, d’élaboration et d’action ». « C’est à partir de leur développement que l’on pourra multiplier l’implication citoyenne », souligne le texte, qui appelle à les « développer partout: dans les localités, les lieux de travail », sans privilégier « aucune forme », associative ou autre.

Le développement des « fronts thématiques » locaux est également encouragé comme autant de lieux « d’élaboration programmatique » et « d’actions » pour « élargir le Front de gauche ». Quant au Front des luttes, outil « d’intervention du Front de gauche au service des salariés », il est doté d’« un rôle consultatif et propositionnel ».

Conseil et coordination

Le conseil national né avec la campagne présidentielle et législative est, lui, confirmé dans son rôle « d’initiative, consultatif et propositionnel », et devra être « élargi » et « diversifié » dans sa composition. La coordination nationale, constituée de « représentants des composantes politiques du Front de gauche », devant pour sa part rester « l’instance exécutive et, en dernière instance, décisionnelle », est-il encore indiqué. Pour mettre en œuvre les décisions prises, un secrétariat « composé d’un membre par composante du Front de gauche » sera créé. Enfin, un « protocole financier » sera établi suivant une « clé de répartition pérenne entre les neuf composantes » pour les dépenses dues à l’activité du Front de gauche.

Le texte affirme également que des « forums » pourraient être organisés avec d’autres forces pour rallier des majorités sur des thèmes définis (propositions de loi, lutte contre l’austérité…).


Paru dans l'Humanité par Sébastien Crépel le 29 janvier 2013

 


Texte intégral à visionner, à télécharger et faire circuler : Le développement du Front de Gauche -

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24 janvier 2013 4 24 /01 /janvier /2013 19:22

Le Front de gauche a lancé sa "campagne contre l'austérité"ce mercredi soir lors d'un meeting à Metz, au côté des salariés en lutte d'ArcelorMitall, Florange, Virgin ou Sanofi.

Arrivés en tenue de travail argentée et casque doré sur la tête, les sidérugistes d'Arcelor Mittal de Florange ont rejoint la scène sur la musique "on lâche rien" du groupe HK et les saltimbanques, musique de la campagne présidentielle de Jean-Luc Mélenchon. Le matin, ils étaient à Paris où ils ont tenté de s'enchaîner aux portes de Matignon avant d'être reçus au siège du PS par le premier secrétaire Harlem Désir et à l'Elysée par un conseiller de François Hollande.

Des salariés de Florange, Gandrange, Virgin et Sanofi ont témoigné et offert un casque à Jean-Luc Mélenchon à qui revenait la tâche d'ouvrir le lancement de la "campagne contre l'austérité", avant les interventions des leaders des autres composantes du mouvement: Myriam Martin (GA), Christian Picquet (GU), Clémentine Autain (FASE) et Pierre Laurent (PCF)

"Inutile d'essayer de nous diviser"

"Ne croyez pas que ce soit une campagne dans laquelle le Front de gauche se substituerait à l'action syndicale, la campagne contre l'austérité c'est la campagne pour les droits des peuples à vivre (...) et pas seulement survivre. (...) Nous sommes prêts à tout moment à relever le défi qui consisterait à diriger ce pays sur d'autres bases", a rappelé en premier Jean-Luc Mélenchon.

"Il est inutile de nous menacer, d'essayer de nous diviser", a prévenu Jean-Luc Mélenchon qui s'est attiré les foudres du PS mercredi matin en déclarant dans la presse que dans le couple franco-allemand, la chancelière allemande Angela "Merkel tient le guidon et "Hollande pédale". "A bas l'odieux chantage quand j'entends dire "vous misez sur l'échec" (...) c'est le contraire, c'est parce que nous refusons l'échec que nous faisons les propositions que nous faisons. Mais nous avons brisé le cercle vicieux qui voulait que nous approuvions le béret à la main ce qui nous est proposé. (...) Nous n'attendrons pas 2017, il y aura la lutte tous les jours avec les syndicats et il y aura les élections. En 2014 il y aura les rendez-vous avec l'Europe", a prévenu le co-président du Parti de gauche.

"Changer le paysage politique"

"En ce début de l'année 2013 il y a une force, celle du FG qui vous dit "nous ne renonçons à rien, la résignation nous n'en voulons pas" (...) nous repartons à la bataille, nous repartons unis", a enchaîné Pierre Laurent qui clôturait la réunion. "Cette campagne une nouvelle fois va changer le paysage politique de ce pays", a-t-il assuré.

Le sénateurs communiste a également prévenu que "pour les parlementaires du Front de gauche, il n'(était) pas question de transcrire dans la loi l'accord" avec le Medef. "Nous irons à ce débat avec des propositions: interdiction des licenciements boursiers, droit de veto pour le CE, taxation des CDD, un plafond maximum de 5% d'emplois précaires..."

Un autre meeting est prévu le 13 février à Rouen, non loin de la raffinerie Petroplus de Petit-Couronne. Le FG est aussi séduit par l'idée de mettre en place des "marches" et veut par ailleurs "redynamiser ses assemblées citoyennes".

Ci-dessous le discours de Pierre Laurent à ce meeting.

 

 

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21 novembre 2012 3 21 /11 /novembre /2012 20:00

A  quelques jours du débat organisé à Bagnols sur "l'avenir du Front de Gauche" ( lundi 26, à 18h, centre socio éducatif (voir ce lien), une nouvelle composante rejoint le Front de Gauche. Voilà de quoi nourrir le débat!

 

Réunis en congrès le week-end dernier à Paris, les militants alternatifs se sont prononcés pour devenir la 9e composante du Front de gauche. Un renfort salué par ses autres membres.

Les Alternatifs, réunis en congrès ce week-end à Paris, ont décidé de rejoindre le Front de gauche, 53,47 % des participants ayant voté en faveur d’un tel rapprochement. Après l’avoir soutenu dès les régionales de 2010 et jusqu’à la dernière présidentielle mais en ayant refusé jusque-là d’en être membres, les Alternatifs devraient devenir d’ici peu la 9e composante du Front de gauche, fondé en 2009 par le PCF, le PG et la GU.

Si « l’analyse de la situation, (leurs) orientations et (leur) attitude de plus en plus oppositionnelle au gouvernement ont fait largement consensus, explique le porte-parole du « parti mouvement », Jean-Jacques Boislaroussie, le point majeur de clivage a été la participation au Front de gauche ». Les uns attendant encore des « clarifications » sur ses positions, notamment vis-à-vis du gouvernement. Les autres, majoritaires, convaincus de la nécessité de « faire apparaître une autre gauche que celle des sociaux-libéraux, et une autre voie pour les révoltes que le FN », détaille le porte-parole.

Leur choix doit encore être confirmé par les instances de la coalition – une rencontre devrait être programmée d’ici peu – mais, dès hier, cette décision a été saluée par ses composantes fondatrices. Le président de la coordination du Front de gauche, Christian Picquet (GU), s’est félicité de « l’enrichissement qu’apportera cette nouvelle sensibilité à une réflexion et des actions déjà bien engagées », y voyant le « signe que le Front de gauche est effectivement installé dans le paysage politique ». Un « signe » également pour Éric Coquerel (PG), celui de la « vocation à rassembler, ce que le PG appelle, “l’autre gauche”, qui pourrait inclure à l’avenir le NPA, le POI ». « Une diversité qui est autant de chances de s’élargir aux citoyens », précise-t-il. Une appréciation positive que partage également le PCF: « On ne peut être que contents, avec les politiques libérales et sociales-libérales menées en Europe, que le camp de l’alternative se renforce et cherche à construire des majorités politiques et sociales pour sortir de la crise », explique Francis Parny, chargé des relations avec le Front de gauche, une main tendue vers « toutes les sensibilités de gauche, y compris du PS ou d’EELV, préoccupées par les orientations actuelles du gouvernement ». « Aucune inquiétude », affirment les uns et les autres, quant aux possibles recompositions à l’intérieur du Front de gauche, notamment autour des discussions engagées entre les Alternatifs, la GA, la Fase… Le conseil national du mouvement devrait se réunir le 8 décembre pour débattre de ses orientations comme de ses actions.


Par Julia Hamlaoui dans l'Humanité

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 09:22

Invité de Yves Letellier, ci après la vidéo de l'interview.

 

 

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30 août 2012 4 30 /08 /août /2012 05:14

Lors des estivales du Front de gauche du week-end dernier à St Martin d'Hyères, l'exigence de la tenue d'un référendum sur le pacte de stabilité a été mis au coeur de la mobilisation des 2 mois à venir. ATTAC qui tenait aussi son université d'été portait en écho la même exigence.

Des voix au sein du PS ou d'EEV sont de plus en plus nombreuses à exprimer lle même refus d'accepter une camisole de force budgétaire qui non seulement lève toute souveraineté aux nations mais enfonce  toujours plus les peuples dans la misère, tout en détériorant gravement leur conditions de travail.

Bernard THIBAULT au nom de la CGT a annoncé des manifestations de la CGT le 9 octobre pour la "défense de l'emploi industriel" et une campagne de pétition contre la ratification du traité budgétaire européen.

Le Front de gauche et évidemment les militants communistes seront présents et actifs dans cette mobilisation.

Un sujet qui sera débattu sans aucun doute samedi 1er septembre à LEZAN ainsi que lors de notre fête du "Midi Rouge" de la section PCF Gard Rhodanien qui se tiendra à Bagnols le 23 septembre.

 

 "Il y a une forme d'alarme de notre point de vue sur la situation économique et sociale", a affirmé Bernard Thibault au lendemain de l'assemblée générale de rentrée du syndicat qui réunissait les fédérations et les unions départementales. "Depuis la conférence sociale" tenue en juillet "il y a une forte détérioration de la situation."

"Cela confirme notre regret qu'à la conférence sociale il n'y a ait pas eu d'autres annonces de la part du gouvernement pour faire face à l'urgence en matière d'emploi, notamment sur les restructurations", a-t-il ajouté.


Manifestations dans les grandes villes 

"Compte tenu de l'urgence de la situation" la CGT lance "une première initiative le 9 octobre pour "la défense de l'industrie et de l'emploi", dans le cadre d'une "semaine de mobilisation décidée par la Fédération européenne de l'industrie", a souligné le numéro un de la centrale. Des manifestations seront prévues dans des grandes ville (Paris, Lyon Bordeaux etc).

"Il faut que le gouvernement prenne la mesure de l'urgence de la situation et des attentes", a-t-il dit. "Le mécontentement était fort et a provoqué un changement de président de la République, il est normal qu'il y ait une impatience importante vu la dégradation de la situation."

Contre le traité européen 

Par ailleurs, la CGT va lancer "une campagne d'information et de mobilisation pour relayer la position de la Confédération européenne des syndicats (CES), rejetant le traité européen, qui est susceptible d'être soumis à ratification dans les semaines à venir", a affirmé le leader syndical.

"Nous allons militer pour une non-ratification par la France de ce traité, quelle que soit la procédure utilisée", a-t-il précisé. 

La CGT "va élaborer un matériel grand public, dont un texte à faire pétitionner dans les entreprises, qui va permettre aux salariés de s'exprimer pour une non-ratification de ce traité."

 

http://tempsreel.nouvelobs.com/scripts/stats.php?mod=read&key=1122668&media=challa

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28 août 2012 2 28 /08 /août /2012 22:36

Chacun a pu suivre largement les interventions de dirigeants du PS, des Verts lors de leurs "universités d'été" dans les grands médias "d'info en continu"et évidemment des grandes chaînes généralistes!. Comme à l'habitude les initiatives du Front de gauche sont passées sous silence ou font l'objet du "service minimum médiatique"! ( exception faite de la retransmission du discours de JL Mélenchon en différé par LCP.)

Donc ci après le discours de clôture des estivales prononcé par Pierre Laurent, puis celui de JL Mélenchon.

 

De quoi méditer quelques jours avant le "remue méninge" gardois proposé ce samedi 1er septembre à LEZAN.

A cette heure, près d'une centaine d'inscrit(e)s issu(e)s de tout le département et de toutes les composantes du Front de gauche (PCF, PG, GA, FASE, etc....) ou de militants n'appartenant à aucune organisation.

 

Les inscriptions sont encore possibles au 06 80 01 35 78 pour cette journée de réflexion et de mobilisation que débutera à 9h par une courte introduction avant que les participants ne se retrouvent en "ruches" sur différents thèmes. Avant 12h, restitution en séance plénière du contenu des débats de ces ateliers.

 

Apéritif, repas fraternel ( paella). (participation aux frais.)

 

Après midi: débat général avant les allocutions de clôture.

 

 

 

 
Ces estivales faisaient suite à deux jours de travail du parti de gauche clôturé  vendredi 24 août par une intervention (retransmise sur LCP et LCI) de JL Mélenchon, dont vous pouvez prendre connaissance en cliquant sur le lien ci après: cliquez ici.   Parmi les autres orateurs, Julian Assange depuis l'ambassade de l'Equateur à Londres et Gabriel Amard, Président de la Communauté d'agglomération Les Lacs de l’Essonne et Conseiller municipal de Viry-Châtillon (Essonne) en conflit avec la Lyonnaise des eaux ( voir article du Parisien) pour son combat pour mettre la gestion de l'eau en régie.
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